Bach und die Kunst der Fuge
  Bach et l'Art de la fugue
Zitatsammlung zusammengestellt von Christian Rieger (2001)
  Citations recueillies par Christian Rieger (2001)
„O Bach! Sebastian Bach, verehrteste Frau!" rief Herr Edmund Pfühl, Organist von Sankt Marien, (...) "Gewiss...wie Sie sagen...er ist es, durch den das Harmonische über das Kontrapunktische den Sieg davongetragen hat...er hat die moderne Harmonik erzeugt, gewiss! Aber wodurch? Muß ich Ihnen sagen wodurch? Durch die vorwärtsschreitende Entwicklung des kontrapunktischen Stils – Sie wissen es so gut wie ich! Was also ist das treibende Prinzip dieser Entwicklung gewesen? Die Harmonik? O nein! Keineswegs! Sondern die Kontrapunktik!...Wozu, frage ich Sie, hätten wohl die absoluten Experimente der Harmonik geführt? Ich warne... solange meine Zunge mir gehorcht, warne ich vor den bloßen Experimenten der Harmonik!"
Thomas Mann „Buddenbrooks" Achter Teil, Sechstes Kapitel S.474f. (...)

 
  „ Bach ! Sébastien Bach, chère madame ! "  s'écria monsieur Edmund Pfühl, organiste de Sainte-Marie. (...) „ Certes... comme vous le dites... c'est grâce à lui que l'harmonie a remporté la victoire sur le contrepoint... C'est vrai, il a créé l'harmonie moderne ! Mais comment ? Devrais-je vous le dire ? À cause du développement progressif du style contrapuntique – Vous le savez aussi bien que moi ! Et quel a été le moteur de ce développement ? L'harmonie ? Oh non ! Pas du tout ! Mais le contrepoint ! ... Je vous le demande : où nous auraient menés toutes ces expériences de l'harmonie ? Je mets en garde... tant que j'ai encore toute ma tête ; je mets en garde d'expérimenter uniquement avec l'harmonie ! "
D'après Thomas Mann, „ Les Buddenbrooks " partie huit, chapitre 6  (...)
 
„Nach Diktat verreist"
Bemerkung eines Studenten über Die Kunst der Fuge (...)

 
  „ Pas de commentaire "
Remarque d'un étudiant sur l'Art de la fugue (...)
 
„Interessant kann man das Thema eigentlich nicht nennen; es ist nicht einer genialen Intuition entsprungen, sondern mehr in Hinsicht auf seine allseitige Verwendbarkeit und in Absicht auf die Umkehrung so geformt worden. Und dennoch fesselt es denjenigen, der es immer wieder hört. Es ist eine stille, ernste Welt, die es erschließt. Öd und starr ohne Farbe, ohne Licht, ohne Bewegung liegt sie da; sie erfreut und zerstreut nicht; und dennoch kommt man nicht von ihr los." (...)
Albert Schweitzer, J.S. Bach 1908/1936, S. 374

 
  „ En fait, on ne peut dire que ce thème soit intéressant ; il n'est pas issu d'une intuition géniale, mais a été davantage conçu pour son utilisation universelle et dans le but de l'inversion. Et pourtant, il captive celui qui l'écoute maintes fois. Il ouvre un monde grave et silencieux. Ce monde est là, monotone, rigide, sans couleur, ni lumière, ni mouvement ; il ne réjouit ni ne distrait, et pourtant, il subjugue. ( ... ) "
D’après Albert Schweitzer, „ J.S. Bach “ 1908/1936
 
„Damit es einen Spiegel der Welt geben kann, muß die Welt eine Form haben.“
Umberto Eco, Name der Rose, S.154 (...)
 
  „ Pour qu'il y ait un miroir du monde, il faut que le monde ait une forme. "
D'après Umberto Eco, „ Le nom de la rose " ( ... )
 
„Ich rate dem Leser, bei der Beschäftigung mit der „Kunst der Fuge" jeden Gedanken an Tod und Ewigkeit beiseite zu lassen, es bleibt noch genug zu bewundern und  zu bestaunen übrig."
Walter Kolneder, J. S. Bach, S. 259

 
  „ Je conseille au lecteur de ' l'Art de la fugue ' d'écarter toute pensée sur la mort et l'éternité ; il reste assez d'autres choses aussi admirables qu'étonnantes. "
Walter Kolneder, „ J.S. Bach "
 
„Die Fuge ist, so fluchthaft und reich sie innerlich ist, im Ganzen Ruhe, Gebautheit, Schichtung, ist, cum grano salis: mittelalterlicher Sozialgedanke in der Musik: sie ist auch nicht atemlose Entdeckung  einer Wahrheit, sondern wie sorgfältige Auslegung eines Dogmas."
Ernst Bloch, Zur Philosophie der Musik

 
  „ Si précipitée et riche qu'elle soit dans son contenu, dans sa sérénité, sa forme et sa disposition, la fugue est, cum grano salis, une idée sociale médiévale dans la musique : elle n'est pas non plus la découverte essoufflée d'une vérité, mais plutôt l'interprétation minutieuse d'un dogme ".
D'après Ernst Bloch, Zur Philosophie der Musik
 
„Zerreißt einem die Ohren"
Robert Schumann am Ende der Abschrift der Tripelfuge XI

 
  „ Ça déchire les oreilles "
Remarque de Robert Schumann écrite en fin de copie de la triple fugue XI
 

 
Französisch: France Varry, 2001
TSG III, Zeile/ Line à € 1,86, Übersetzung ins Französische / Translation into non-German language (French)
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